S’il y a bien une chose à retenir du film d’Ugo Bienvenue, c’est son incroyable capacité à nous réchauffer le cœur.
Il y a dans Arco une recette lacrymogène si efficace qu’il est difficile de ne pas terminer les yeux mouillés devant ce récit d’une rare douceur. La relation qui s’installe entre les deux personnages principaux transpire la tendresse des premiers amours d’enfance, comme avait pu le faire Wes Anderson dans Moonrise Kingdom.
Néanmoins, si Canto Due est moins festif, c’est sûrement car passé cette fougue de la jeunesse, Kechiche délaisse la redondance pour une évolution, en témoignant du passage à l’âge adulte de son protagoniste, apprenant à prendre en main ses responsabilités et ses relations.
On éclipse ce qui faisait l’identité de Canto Uno
Tom Belarbi
8 oct.3 min de lecture
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